En cas d'aggravation de la crise dans les pays en difficulté, la France est l'Etat européen (encore "épargné" par la crise) qui en subira le plus les conséquences. C'est ce qui ressort des documents publiés par l'Autorité bancaire européenne.
Ridicule ! Pour une fois, la planète finance est unanime. Les stress tests bancaires menés par l'Autorité bancaire européenne sont absurdes, aberrants... ridicules. Quelques exemples. Dans le pire des scénarios, le taux de chômage portugais est... meilleur que celui qui sévit actuellement. Idem pour la France. Et le risque de défaut partiel de la Grèce n'a pas été pris en compte. Résultat : il ne manquerait que 2,5 milliards à une poignée de banques européennes exotiques pour faire face à la crise. En même temps, personne ne s'attendait véritablement à mieux ; Six mois après les premiers stress-tests de 2010, Allied Irish Banks, une banque irlandaise qui avait été déclaré "sûre", a fait faillite. De la belle ouvrage...
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