Y aurait-il de la magouille dans l’air ?
Qu’est-ce qu’il nous fait notre président « Moi, je ne me m’entoure que de gens honnêtes » ?
Antoine Boulay, actuel directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture le Foll, conseiller de Hollande pendant la campagne, était le directeur général de « Vae Solis », lorsque cette boîte de lobbying, a été chargée, par une filiale de la Lyonnaise des Eaux, de discréditer Gabriel Amard. Ce dernier, président de la communauté d’agglomération « Les lacs de l’Essonne », regroupant les communes de Grigny et de Viry-Châtillon, avait créé une régie publique des eaux et cela avait déplu. Jusqu’à pousser ses adversaires à se lancer dans une manœuvre qui porte un nom : « trafic d’influence ». Il fallait le déconsidérer. Même par des faux. Récupérer le bizness.
L’affaire, accompagnée de documents, avait été rendue publique par Marianne II, Médiapart, mais aussi Libération, tous parlant de « Pêche en eaux troubles », de « com croupie de la Lyonnaise des Eaux ». (Laquelle Lyonnaise, a annoncé qu’elle se désolidarisait de sa filiale : « Eau du Sud parisien ». Des lampistes vont tomber. Comment se fait-il que M. Hollande ne se désolidarise pas de M. Boulay ? Il est moins que la Lyonnaise des Eaux ?)
Voici, à ce sujet, la déclaration de Gabriel Amard :
J’ai décidé, ce mercredi 18 juillet 2012, de déposer plainte auprès de Madame le Procureur de la République en Essonne. Cette plainte vise la société Eau du Sud Parisien, pour des faits susceptibles de justifier des poursuites sur le fondement de l’article 433-2 du Code pénal réprimant le trafic d’influence.
Depuis le 1er janvier 2011, la Communauté d’agglomération Les Lacs de...
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iciSi le " RIC " , (le référendum d'initiative citoyenne), était mis en place , nous le peuple pourrions donner notre avis et pourquoi pas intervenir efficacement.