Crise de la dette : après la Grèce et l'Italie, la France sous pression

Après la Grèce et l'Italie, la France sera-t-elle le prochain pays de la zone euro à se retrouver dans l'œil du cyclone de la crise financière ? On n'en est pas encore là, la France dispose toujours de son triple A qui lui permet d'emprunter aux meilleures conditions. Mais le risque d'une dégradation est tellement réel que l'agence de notation Standard and Poor's (S & P) a annoncé hier par erreur que la France avait perdu son triple A ! (lire ci-contre) Cette erreur intervient alors que l'écart entre le taux des obligations à 10 ans de l'Allemagne et de la France sur le marché de la dette a atteint un nouveau record historique hier, au-delà des 170 points de base.

Encore plus de rigueur ?

La situation de la France pose toutefois problème puisqu'en dépit de l'annonce, lundi, d'un deuxième plan de rigueur de 7 milliards d'euros d'économies, elle vient de se faire tancer par l'Europe. « Nous saluons le fait que le gouvernement (français) ait annoncé récemment...



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tout les indicateurs sont au rouge écarlate dette de l’État, sécurité sociale, assedic et pour ne rien arranger la balance commerciale elle aussi déficitaire non a la marge mais de plus de 40 milliards par ans.

il est logique dans cette alchimie de chiffre que l'avenir hélas va se noircir encore plus vite enfin au niveau des chiffres mais pas dans le redressement des comptes car si du jour au lendemain un nouveau plan de rigueur était mis en place pour remettre a zéro tout ces déficits, je pense sincèrement que les français aurait plus que raison de l’indignez réellement en masse et oui car trouver pour le budget de l'etat 80 milliards d'€ quid et pour celui de la secu une vingtaine et celui des assedic environ 3 ou 4 soit plus de 100 milliards

hors pour éviter cela nos chers politiciens ont fort bien compris que soigner le malade par petite dose était pour eux source d’éviter une révolte a la grecque ou comme en 1789 même si leur mesure vont amplifier la chose après 11 milliards fin aout les 7 ou 8 de ce début de mois ou lorsqu'on regarde bien le sauveur de l'€ s'est bien garder de faire les annonces après le g20 afin d'y garder la bas une certaine crédibilité qui a amener a ce que le premier ministre grec soit inviter et remis au pas après sa proposition de referendum depuis celui ci a démissionner.

idem pour le premier ministre italien qui vient de se retirer après un vote bizarre du plan d’Économie de la péninsule.

il ne serait pas étonnant que notre crise de dette traine jusque après les élection de avril 2012 avec de beau discours enchanteur dessus et qu’après il nous soit fait un petit dans le dos., pour l'instant nos politiques droite et gauche confondu la joue fine pour gagner du temps sans plus mais c'est reculé pour mieux sauter.

c'est je pense pas en défaisant notre modèle social qui protège que notre pays va s'en sortir car c'est l'inverse qui risque de nous pendre au nez augmentation du chômage de la pauvreté, c'est pas non plus en disant oui au proposition du medef sur la productivité que cela fera avancer le règlement es problème mais bien a un remise a plat de la mondialisation, un arrêt a la démographie galopante sur terre mais sommes nous encore en position de force pour s'opposer aux pays qui ont été les grands gagnants de la mondialisation qui est en premier la chine avec son milliards d'habitants et même dans notre Europe des 27 avec les différences sociale et de revenu des pays la constituant.

voila de fait nous ne maitrisons plus rien devons nous contenter de subir par cela le monde économique déréguler et celui de la finance et donc sans soigner ce mal il est une logique est que notre situation est pas loin d'être celle de l’Italie et la Grèce .

aller bientot pour boucher le trou des retraites l'age de la retraite se verra repousser encore une fois seulement de manière technique car derrière encore plus de chômage, chômage qui va se régler en diminuant les droits a indemnités, reste des dettes de la sécurité sociale certainement à la hussarde en diminuant les remboursement ou en taxant plus les mutuelles, dette de l'état en augmentant les impots d'un peu par ci ou par la et en baissant les dotations aux collectivités locales qui pour continuer a vivre n'hesiteront pas au augmenter leurs taux d'imposition