LES RATS COMMENCENT A QUITTER LE NAVIRE… CA SENT LA FIN POUR L'EURO ET ACTUELLEMENT, LES GRANDES MULTINATIONALES TRANSFERRENT DISCRETEMENT LEUR ARGENT DE LA ZONE EURO VERS D'AUTRES CIEUX, PLUS SURS…
MAIS LES POPULATIONS DEMEURENT, POUR VIVRE UNE AUSTERITE ET UNE REGRESSION SOCIALE SANS PRECEDENTS.
NEOLIBERALISME, MONDIALISATION ET EURO ONT ONTENU UNE REVANCHE SOCIALE DE GRANDE AMPLEUR DANS LA REGION LA PLUS DEVELOPPEE DE LA PLANETE, L'EUROPE DE L'OUEST.
La spirale infernale de l'austérité, de la pauvreté et de la faillite se met doucement en place dans cette Europe dite développée socialement. On va dans le mur à vitesse constante, sans freins, et en klaxonnant comme si on avait gagné avec les plans d'austérité.
Les plus fragiles sont touchés en premier : Grèce, Portugal, Espagne, Italie, Irlande, Chypre... Ils n'ont aucune chance de rembourser leur dette. Puis viendra la France, l'Allemagne, très dépendantes de ces pays pour leurs exportations…
L'Euro et la crise sont une construction machiavélique des financiers et des gouvernements néolibéraux pour "la revanche sociale" et la captation de l'argent des peuples. Par la dérégulation et la mondialisation, délocaliser chez les pauvres pour faire augmenter chômage et pauvreté chez nous. Puis baisser l'impôt des riches pour organiser des déficits, emprunter pour augmenter la dette et les intérêts qui seront payés par l'augmentation de la fiscalité sur les populations, puis la baisse des revenus et de la protection sociale.
Mais cette austérité appauvrit le peuple. Il y aura moins de rentrées fiscales (impôts, TVA…) car il consomme moins. Et c'est ainsi que les plans d'austérité provoquent l'inverse de...
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iciJ'ai pour ma part bien aimé ce texte que je trouve très intéressant , pour ma part il résume exactement la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement.
Mais bon , pour une fois je ne vous en dirai pas plus , à vous d'apprécier ou pas , d'en tirer les informations qui vous plairons et de méditer.
N'oubliez pas de lire certains commentaires qui ne sont pas si foireux que çà , loin de là.